Je sentis qu'il arrivait derrière moi, alors je me retourna d'un coup. J'avais le visage en larme et je ne me sentais pas le courage de lui parler. Mais c'est lorsqu'il m'attrapa le poignet que je perdis de nouveau le contrôle. Tout en lui parlant, je lui tapais sur le haut du torse, pas pour faire mal, mais juste pour appuyer mes dires. Ma voie était stridente et forte, mais aussi complètement désespérée.
-Non, non, non, j'ai pas peur de lui !!!! Je le connais, c'est vrai, mais je ne peux pas le trahir... Mais ce genre de chose, tu l'as dit toi même tout à l'heure, tu ne peux pas le comprendre, c'est pour les faibles d'esprit !